Cadenet, Surcouf et Vidock au 1/72

André Estienne de Cadenet
André Estienne raconte dans ses écrits que, respectant les ordres reçus de se protéger de la mitraille ennemie, et tout en fuyant les boulets des artilleurs autrichiens, lui et les deux autres tambours tombent involontairement dans la rivière. Ce qui explique leur errance derrière les lignes autrichiennes. Pour le remercier de cet acte de bravoure, Napoléon lui décernera les baguettes d’argent, les décorations n’étant pas encore autorisées à cette époque. Ces deux camarades recevront la même récompense. Son nom est gravé sur l’Arc de Triomphe, à Paris, aux côtés de ceux des officiers de la Grande Armée. Il recevra le 15 juillet 1804 la Légion d’Honneur, nouvellement créée. Il mourra en 1837 à l’âge de 60 ans.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Robert Charles Surcouf (12 décembre 1773 à Saint-Malo - 8 juillet 1827 à Saint-Servan) est un corsaire français.
Embarqué dès l'âge de 13 ans, il devient ensuite capitaine corsaire. Il harcèle les marines marchandes et militaires britanniques, non seulement sur les mers de l'Europe, mais aussi sur celles de l'Inde. Ses activités le font reconnaître - il est nommé membre de la Légion d'honneur le 26 prairial an XII (14 juin 1804) - et l'enrichissent. Il devient l'un des plus riches et puissants armateurs de Saint-Malo.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Eugène-François Vidocq, né le 23 juillet 1775 à Arras et mort le 11 mai 1857 à Paris, était un aventurier, successivement délinquant, bagnard puis policier et enfin détective privé.
Forçat évadé du bagne, il devient chef de la « brigade de sûreté ». À la tête de cette brigade, d'abord officieuse et qui devient par la suite le service de sûreté de la préfecture de police de Paris, ancêtre de la direction régionale de la police judiciaire parisienne, il est le père de la police judiciaire. Il est également le fondateur de la toute première agence de détectives privés de l'histoire.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

De vrais aventuriers, j'aime beaucoup Vidocq qui me rappelle la série avec claude Brasseur !

Salut Borodino,
que voici des sujets qui sortent des sentiers battus, bravo pour cette présentation.
Philippe.

Merci à vous deux.

mis a part surcouf et vidocq je ne connaissais pas l'existence du tambour présenté , belle peinture

Merci à toi

je ne connaissais pas l'existence du tambour présenté

Il existe des personnages de second plan, comme celui-ci, qui sont vraiment intéressant pour ceux qui aime la période Napo. Par exemple le général Fugière, héros d'aboukir, mais ce qui est pas mal c'est qu'en lisant un peu son histoire on s'aperçois qu'il fut commandant des invalides, bon rien d'extraordinaire hors le fait u'il ne s'agissait pas des invalides de Paris mais d'Avignon, hé oui, il n'y avait pas qu'un.

tenardier a écrit:

je ne connaissais pas l'existence du tambour présenté

Il existe des personnages de second plan, comme celui-ci, qui sont vraiment intéressant pour ceux qui aime la période Napo. Par exemple le général Fugière, héros d'aboukir, mais ce qui est pas mal c'est qu'en lisant un peu son histoire on s'aperçois qu'il fut commandant des invalides, bon rien d'extraordinaire hors le fait u'il ne s'agissait pas des invalides de Paris mais d'Avignon, hé oui, il n'y avait pas qu'un.

Les Invalides d'Avignon était une annexe des Invalides de Paris

Certes annexe ou pas, c’était tout de meme des invalides avec son cortège de commandement et d'estropieds

Tout à fait, et les pensionnaires s'y trouvaient mieux qu'à Paris !
C'était plus reposant et plus agréable

J'ai eu l'ocas d'y travailler, le cadre, l'enceinte, c'est vraiment agréable, d'un calme reposant.

tenardier a écrit:J'ai eu l'ocas d'y travailler, le cadre, l'enceinte, c'est vraiment agréable, d'un calme reposant.

A cette époque ?
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]